Les Hôtels de Saint Germain des Prés, Paris

L'été a rempli son devoir cette année. Cela se voit sur les visages des Parisiens et des touristes qui peuvent à loisir admirer les monuments de la Capitale sans craindre les ardeurs des baleines de parapluie! Quand la ville se dépeuple, et que le soleil s'urbanise, certains lieux prennent une autre dimension.  De notre côté, on aime Paris. Non, on adore Paris! Alors oui, nous sommes des hôtels Germanopratins, et notre environnement n'est certainement pas le plus désagréable. Mais c'est la Capitale dans son intégralité, que nous chérissons! Il y a cette ambiance... Parisienne. Les ruelles pavées, les boutiques si petites qu'on y tient à trois et pas plus, l'histoire à chaque coin de rue, un passé riche et illustré, des petits cafés si charmants, et des Parisiennes so chics! Bref, Paris est, et restera Paris. Le coeur des passants entaché de touches Parisiennes ne s'aperçoit pas qu'en quittant la ville, ce souvenir fera toujours partie de lui.

Il est un poète Français dont chaque lèvre connaît le nom. Il est un livre dont chaque souffle a formé le nom. Il est une ville dont chaque rêve a dessiné le nom. Le poète est Charles Baudelaire, le livre est Les Fleurs du Mal et la ville est Paris. Alors quand Charles Baudelaire écrit "Paysage" dans Tableaux Parisiens des Fleurs du Mal , on ne peut que savourer les  mots comme on parcourt les rues de la Capitale... En admirant la beauté de la forme et l'émotion de l'instant... Profitez... Paysage. Je veux, pour composer chastement mes églogues,
 Coucher auprès du ciel, comme les astrologues,
 Et, voisin des clochers écouter en rêvant 
Leurs hymnes solennels emportés par le vent. 
Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde,
 Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde;
 Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, 
Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. II est doux, à travers le